Misery

Fiche identité

  • Titre du livre: Misery
  • Auteur: Stephen King
  • Nombre de pages: 391
  • Édition: Albin Michel
  • Année de publication: 1987

Résumé

Paul Sheldon est un écrivain plutôt populaire chez les jeunes femmes romantiques ou les ménagères en quête d’aventures. Il décide de se défaire de cette image pour se consacrer à une oeuvre qui fera de lui un « vrai » écrivain reconnu par les critiques. C’est ainsi que Misery Chastain, une de ses grandes héroïnes, disparaît des kiosques et des librairies.
Un jour, après une soirée bien arrosée, il est victime d’un terrible accident de voiture sur une route déserte et est recueilli par Annie Wilkes, une infirmière. Manque de chance, cette dernière déclare être sa plus grande fan et a très mal supporté la fin de Misery Chastain.  Elle l’ordonne donc de lui écrire exclusivement la suite des aventures de cette héroïne sinon…GARE A LUI !

Avis    

Je garde jusqu’à aujourd’hui des images très vivaces de ce livre car ce fut l’un de mes premiers Stephen King.  L’auteur, ici, joue uniquement sur la terreur psychologique et je pense que c’est le meilleur moyen d’effrayer quelqu’un. Totalement dépendant de cette infirmière, Paul Sheldon devra à tout prix inventer une histoire qui puisse la satisfaire. Le suspens est terrible car jusqu’au bout du livre, on ne sait pas s’il va s’en sortir, d’autant plus que celle qui l’a sauvée est une femme dérangée qui se balade avec une hache.  Et surtout qu’est-ce qu’elle fera de lui une fois le livre terminé ?
Je me rappelle qu’à un certain moment de l’histoire, j’ai même presque souhaité qu’il meure ou qu’il se suicide, tellement l’angoisse est omniprésente. Pour moi, aucune échappatoire n’était possible, surtout dans l’état où il se trouvait après l’accident. Heureusement, il y a les passages du manuscrit  qu’il écrivait pour nous détendre un peu.
A lire pour se faire très peur tout seul ! Un autre conseil d’ami: évitez de boire au volant, on ne sait jamais quel noir secret cache l’âme « charitable » qui vous portera secours ! Si c’est une folle comme Annie Wilkes, vos jours seront comptés…

Autre(s) livre(s) de cet auteur commentés dans ce blog: 22/11/1963 – Brume – ÇaCoeurs perdus en Atlantide – Docteur SleepDolores Claiborne – DômeLa petite fille qui aimait Tom Gordon Le fléauL’institut – Marche ou crèveRêves et cauchemarsSalemShining

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *