La Mallorée (Tome 1 à 5)

Fiche identité

  • Titre du livre: La Mallorée (Tome 1 à 5)
  • Auteur: David Eddings
  • Nombre de pages: 2 249
  • Édition: Pocket
  • Année de publication: 1987

Résumé

Depuis que Garion a détruit Torak, le Dieu-Dragon, la vie reprend son cours dans le Ponant. Toutefois, des rumeurs inquiétantes circulent: le culte de l’Ours est de nouveau à la mode, Zakath, un empereur malloréen est avide d’étendre son territoire, une pierre maléfique nommé Sardion a repris vie, une mystérieuse personne nommée Zandramas y serait lié..

Avis    

Après une lecture réussie des premières aventures de Garion (cf. La Belgariade (Tome 1 à 5), je me suis décidée à lire la suite de ses aventures. Une fois de plus, on retrouve tous les éléments qui font de cette saga une belle réussite : des aventures dans des endroits peu recommandables et dangereux, une quête qui décidera de la tournure du monde, des personnages hauts en couleurs et très drôles, quelques méchants, de la sorcellerie…Je voudrais souligner un point négatif qui ne m’a pas empêché d’apprécier cette histoire. J’ai été un peu déboussolé par l’objet principal de leur aventure. L’ensemble des arguments m’a paru nébuleux : l’explication du « Choix », l’imbrication des prophéties, la chronologie des évènements qui devaient se produire pour la réussite du projet m’a paru vraiment fallacieuse et il y avait trop de détours pour arriver à quelque chose de finalement très simple. Ce n’est pas grave au fond puisque cela rajoutait encore plus d’aventures et donc de pages à lire !
Je dirais que c’est surtout une belle histoire d’amitié qui se noue entre plusieurs personnages, qui à priori n’avaient rien en commun, et qui vont entamer ce long périple ensemble. J’ai aimé partager de nouveau ces moments avec Belgarath, Polgara, le malicieux Silk ainsi que Garion. D’autres personnages ont également donné du tonus et de l’humour à l’histoire.
Le style d’écriture est simple, léger et l’ensemble des livres se lit très vite même si j’ai noté quelques longueurs ici et là.  L’auteur utilise régulièrement un ton humoristique, surtout dans les dialogues : leurs joutes verbales m’ont fait plusieurs fois sourire. Par contre, la fin m’a paru un peu trop enfantine.
Quoiqu’il en soit, ce fut une lecture agréable et très facile que je recommande particulièrement aux amateurs de fantasy ! Ah oui, j’allais presque oublier de vous dire que  pour comprendre cette seconde partie, il est impératif de lire auparavant les cinq premiers tomes de la Belgariade.

Autre(s) livre(s) de cet auteur commentés dans ce blog: La Belgariade (Tome 1 à 5)

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