Là où les arbres rencontrent les étoiles

Fiche identité

  • Titre du livre : Là où les arbres rencontrent les étoiles
  • Auteur : Glendy Vanderah
  • Nombre de pages : 448
  • Édition : Pocket
  • Année de publication : 2019

Résumé

Jo prépare une thèse en ornithologie et passe son été à faire des relevés sur des nids. Un soir, elle rencontre une petite fille qui prétend s’appeler Ursa et qui dit venir d’une autre planète. D’abord réticente, Jo finit par s’attacher à cette mystérieuse enfant.

Avis     

C’est grâce aux lecteurs de Babelio que j’ai découvert ce roman. Après deux lectures assez décevantes, j’avais besoin d’une histoire feel good, originale et lumineuse. C’est en fouinant un peu que j’ai trouvé ce titre enchanteur.
Le résumé nous en dit déjà beaucoup. C’est l’histoire d’une amitié improbable entre Jo, une chercheuse solitaire en ornithologie, Gabe, un homme reclus avec sa mère malade, et Ursa, une enfant mystérieuse et secrète qui apparaît soudainement dans la forêt. Si l’histoire d’amour saute aux yeux, le fil conducteur de ce livre est Ursa. Qui est-elle ? Quelle est sa véritable histoire et que se cache-t-il derrière cette histoire abracadabrante de planètes lointaines et de cinq miracles ?
Ce livre regorge de lumière, d’espoir et de beaux sentiments. Dis ainsi, cela fait un peu niais, mais honnêtement, j’ai été touché par la simplicité d’Ursa, par son imagination sans fin et par sa résilience. C’est vrai que quand la réalité est insupportable, les rêves peuvent l’adoucir. Chaque personnage adulte s’est réfugié dans sa bulle, blessé et meurtri soit par la maladie, soit par le passé, mais la rencontre avec Ursa les a changés, comme si elle était le catalyseur qui réveillait les émotions qu’ils ont enfermé soigneusement dans le tiroir de leur cœur.
Le style d’écriture est doux, léger et agréable. Ce roman se lit vite, car il est essentiellement composé de dialogues et de quelques descriptions de la forêt.
Pour conclure, je ne m’attendais pas à apprécier autant ce livre, car la littérature feel good n’est pas mon genre favori. Une belle découverte que je recommande !